Avec quelques petits riens, le motif d’un tissu, une silhouette dans l’espace de la page, Véronique nous entraîne où elle veut : dans une cour de récréation près de chez nous où dans un camp des « hommes bleus » du Niger. Son trait à la fois précis, enlevé et fragile s’illumine au contact du ciel et des couleurs de l’Afrique qu’elle connaît si bien.